23/08/2012

MARIAGE CONTRE-NATURE ?

Le mariage homosexuel serait contre-nature. Mais le mariage n’est-il pas déjà en lui-même une institution contre-nature ? En effet, l’espèce humaine est-elle monogame par nature ? En vérité, le seul élément naturel est la quête amoureuse avec l’utopie d’un amour unique et éternel. Or, l’amour n’a pas besoin de contrat, la société oui ! Finalement, le mariage est un contrat moral qui permet de se mouler tant bien que mal dans le carcan de la normalité dans un souci d’homogénéité sociétale. 

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Source : http://www.menly.fr

 

09/08/2012

HAPPY BIRTHDAY : LA CRISE A 5 ANS

 

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Richard Hiault, « 9 août 2007, début d’une crise toujours pas résolue » in Les Echos, 9 août 2012.

http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202...

 

Les Echos, « Août 2007 – août 2012, 5 ans de crise » in Les Echos, 9 août 2012.

http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/dossier/0...

 

Elsa Conesa et Rejane Reibaud, « Banques : ce qui a changé depuis cinq ans » in Les Echos, 9 août 2012.

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-march...

 

Favilla, « Les jeunes, du chômage à l’exclusion » in Les Echos, 8 août 2012.

http://www.lesechos.fr/opinions/favilla/0202187711349-les...

20/05/2012

PLACE BEAUVAU : LE FILS SPIRITUEL

On croyait Nicolas Sarkozy définitivement parti mais le voilà déjà revenu place Beauvau en la personne de Manuel Valls, son clone « socialiste » [1] ; une nomination dont Le Figaro se félicite [2] mais il est vrai qu’avec Valls, « le mot socialiste ne veut plus rien dire ». [3]

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Comme le constate Sylvain Courage, « Longtemps marginal au sein du PS, le nouveau ministre de l'Intérieur a su se rendre indispensable à la campagne d'un François Hollande qu'il avait pourtant souvent critiqué. » [4]On ne peut pas dire, en effet, qu'au cours des cinq dernières années, Manuel Valls fût l'incarnation du socialisme, bien au contraire ! Faut-il rappeler ses prises de position vis-à-vis de la politique sécuritaire de Nicolas Sarkozy dont il se félicitait avant de tenir un discours exactement inverse à l'approche des élections présidentielles. [5] Qui se souvient de ses propos à l'égard de François Hollande, alors premier secrétaire du PS, en 2008 ? [6] Enfin, quid de sa proximité avec Alain Bauer, « conseiller spécial police » de Nicolas Sarkozy ?

 

L’avocat Gilles Devers dresse un portrait au vitriol du nouveau ministre de l’Intérieur, la charge est violente : « la nomination de Valls c’est la poursuite de pensée Sarko ». Il décoche ses flèches acérées : « Aux primaires, il a fait à peine 6%. En tout et pour tout 149 103 voix, et ce mec se retrouve un an plus tard Sinistre de l’Intérieur : cherchez l’erreur. […] Valls est le porte-parole de la traitrise sociale-démocrate. Car Valls reprend à toutes les idées de Sarko : il dénigre les 35 heures et la retraite à 60 ans, il soutient les propositions de Guéant et Estrosi sur la délinquance, il dénonce les juges laxistes... […] Mais ça ne suffit pas. […] Valls, cornaqué par l’ineffable Bauer (criminologue à tarif élevé, conseiller d’Hortefeux et de Guéant) a décidé de récupérer le marché sécuritaire en adoptant la pensée Sarko. »[7]

 

Même son de cloche de la part d’Olivier Bonnet, qui écrit avec acrimonie : « Ça y est : on le redoutait, c’est fait. Manuel Valls est donc ministre de l’Intérieur du gouvernement "de gauche" de François Hollande », précisant perfidement : « Les guillemets à "gauche" se justifient ici ne serait-ce que par la nomination de ce triste sire, qui n’a jamais rien eu à voir avec la gauche, sinon l’imposture de son étiquette. »[8]nicolas sarkozy,manuel valls,place beauvau,ministère de l’intérieur,ministre de l’intérieur,police,sécurité,ps,parti socialiste

Chimulus, « Valls, le frère jumeau de Sarkozy ? » in Le Huffington Post, 5 janvier 2011.

http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2011/01/04/2359149_nico-et-vallo-entrent-en-piste.html

 

Sont-ce là les diatribes acides et jubilatoires de prophètes de malheur ? On peut effectivement leur opposer le discours que Manuel Valls a tenu face à Claude Guéant lors de la passation de pouvoir, celui-ci critiquant à cette occasion la politique de son prédécesseur au ministère de l’Intérieur. [9] Cela dit, c’est un discours de circonstance, le ministre de l’Intérieur s’alignant sur le style de François Hollande, qui veut être complètement en rupture avec Nicolas Sarkozy.

 

nicolas sarkozy,manuel valls,place beauvau,ministère de l’intérieur,ministre de l’intérieur,police,sécurité,ps,parti socialisteManuel Valls est un habile politicien, à la fois pragmatique et opportuniste, mais aussi incisif, cynique, colérique, calculateur et provocateur… comme l’était Nicolas Sarkozy en 2002. D’ailleurs, n’importe quel homme politique de droite confirme sans hésitation que le nouveau ministre de l’Intérieur a un positionnement très droitier pour un socialiste. La forme lui donne également un côté sarkozyste comme le démontre la photo publiée à son sujet dans le n°2479 du Nouvel Observateur du 10 mai 2012 à la page 68 (illustration ci-contre) : chemise déboutonnée, l’air décontracté, Manuel Valls ne ressemble-t-il pas au style de Nicolas Sarkozy lorsque celui-ci était flamboyant ? En 2009, il plagiait d’ailleurs les méthodes de l’hôte de l’Elysée comme le prouve cet article de Bakchich ironiquement intitulé « La Valls du SM » : « Manuel Valls, le maire d’Evry, s’est récemment plaint auprès de la Garde des sceaux, Rachida Dati, du laxisme des juges d’Evry "face aux nouvelles réalités de notre société". Le Syndicat de la magistrature (SM) répond aux critiques du maire. » [10] Il récidive le mois suivant : Manuel Valls pose bâillonné pour le grand quotidien espagnol El pais, jouant à fond la carte de la provoc’ - et de la victimisation - puisqu’il assène à cette occasion que « Le parti socialiste ne représentenicolas sarkozy,manuel valls,place beauvau,ministère de l’intérieur,ministre de l’intérieur,police,sécurité,ps,parti socialiste plus d’espoir en France » ? [11] Une initiative d’autant plus controversée qu’elle était jusqu’ici l’apanage de… l’extrême droite. [12] Mais n’est-ce pas le même qui affirmait dès le mois d’août 2007 dans une interview au Figaro « Nous sommes au bout d’un cycle : une grande partie des idées de gauche se sont épuisées »  [13] et que le PS « peut faire un bout de chemin avec la majorité » ? [14] N’a-t-il pas aussi déclaré au mois d’octobre 2008 qu’il fallait « sortir de l’opposition frileuse » ?  [15] N’a-t-il pas également affiché sa volonté de faire « imploser » le PS ? [16] N’a-t-il pas martelé qu’il ne fallait pas diaboliser Nicolas Sarkozy ? [17] Enfin, comme ce dernier, il affirme sans complexe qu’il n’a « aucun problème d’éthique ». [18]

 

Manuel Valls a longtemps dénoncé « l’antisarkozysme forcené » de la gauche, une hystérie supposée, selon lui, masquer un déficit idéologique [19], pointant les dérives du « livre noir » du PS qu’il résumeà un « anti-sarkozysme obsessionnel » et la « réactivation de la théorie gauchiste du complot » [20], claironnant que « Le parti doit changer complètement. Sinon nous pourrions disparaître. » [21] Il a multiplié les initiatives pour survivre médiatiquement, pour faire le buzz. Ainsi, en avril 2009, il invite dans son fief d’Évry Eric Besson, ex-socialiste, ministre de l’immigration de Nicolas Sarkozy, pour un débat sur le thème de l’immigration, stigmatisant au passage les manifestants qui ont voulu perturber le début du débat ; d’après Manuel Valls, ils « représentent une gauche un peu triste ». [22] En octobre 2010, à l’occasion d’un débat organisé par Eric Fottorino, directeur du Monde, en association avec le théâtre du Rond-Point, Manuel Valls affiche plus qu'une connivence complice avec Jean-François Copé, une réelle convergence de point de vue sur la question de la sécurité ! Avec sa sortie sur les 35 heures, il réussit à nouveau à se placer au centre du jeu médiatique, au point que Jean-Marc Ayrault, alors président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, adresse cette mise en garde : « Manuel Valls doit mettre son engagement au service de la réussite collective et non pas personnelle », ajoutant : « Nous assistons à un débat entre Jean-François Copé et Manuel Valls, qui ont rouvert le débat sur les 35 heures. Ils arrivent à dire la même chose. » (Les Échos n°20842 du 6 Janvier 2011, page 2). Certains réclament alors son éviction du PS. [23] Surtout son initiative soulage un gouvernement UMP qui commençait à trébucher quant au bilan sur la sécurité [24] ; ses déclarations sur les 35 heures éclipsent opportunément la polémique des chiffres sur les voitures brûlées. Manuel Valls s’est aussi distingué pour son soutien à la réforme des institutions en 2008 - qu’il jugeait, avec dix-sept autres parlementaires socialistes, « prometteuse » - et au principe de la « règle d'or » proposée en 2011 par Nicolas Sarkozy. En 2008, il est favorable à l'alignement des régimes spéciaux de retraite sur ceux de la fonction publique, ainsi que pour une retraite à la carte, impliquant la nécessité de cotiser davantage et de travailler plus longtemps. Il se prononce également en faveur de la suppression de l’Impôt de solidarité sur la fortune ou ISF en 2010 (compensée par la création d’une tranche d’impôt supplémentaire) et de la réforme du quotient familial (l’idée consistant à remplacer le quotient familial par un crédit d'impôt) en 2012. Outre son approche libérale de la laïcité, il souhaite changer le métier d’enseignant afin que le professeur passe davantage de temps dans l’établissement en-dehors des classes en contrepartie d’une augmentation de salaire tout en favorisant une plus grande autonomie pédagogique. [25] Soutenant l’idée de Nicolas Sarkozy, Manuel Valls prône l’instauration d’une TVA sociale pour 2012 avant de se rétracter, ses concurrents dans la course à la candidature socialiste, notamment François Hollande et Martine Aubry, s'opposant à cette disposition fiscale. Autre incartade : au mois d’avril 2011, Manuel Valls taclait l’actuel président de la République en ces termes : « Je ne crois pas que François Hollande monte, c'est pas parce que c'est écrit (dans les sondages) que c'est vrai ».[26] 

 

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Manuel Valls (Reuters)

 

Son passé ne plaide pas pour lui. Toutefois, pour sa défense, on peut rétorquer que les principaux syndicats de police semblent satisfaits de son arrivée place Beauvau. [27] Une assertion que nous nuancerons : les syndicats de police accueillent favorablement Manuel Valls… comme ils ont accueilli favorablement Nicolas Sarkozy en 2002 (ils ont déchanté depuis 2007 ; l’histoire se répètera-t-elle en 2017 ?). Ainsi, pour Yannick Danio du syndicat Unité police SGP-FO (majoritaire chez les gardiens de la paix), le nouveau ministre présente « le profil qu'il faut » même s'il attend de lui « des actes concrets dans les plus bref délais ». [28] Cependant, chat échaudé craint l’eau froide : comme le signale Frédéric Ploquin, le SNOP, méfiant, a déjà dégainé. [29] En outre, Laurent Borredon note l’absence des représentants d'Alliance (deuxième syndicat chez les gardiens de la paix) lors du premier déplacement de Manuel Valls au commissariat de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) où la mise en examen d'un gardien de la paix, le 25 avril dernier, avait provoqué le mouvement de grogne des policiers. [30]

 

À l’instar de ses prédécesseurs, Manuel Valls s’est livré à l'exercice obligé de tout nouveau ministre de l'Intérieur (visites sur le terrain) : « confiance » et « soutien » ont été ses maîtres-mots. Les mêmes mots que ceux employés par Nicolas Sarkozy quelques semaines auparavant : « Qu'avant même que l'enquête ait eu lieu, il y a une mise en examen pour homicide volontaire... Je n'ai pas à qualifier cela mais j'ai simplement à dire ma confiance, mon soutien et la compréhension de l'émotion des collègues de ce policier aujourd'hui mis en examen » [31] ou lors de son fameux discours de Grenoble le vendredi 30 juillet 2010 : « Je veux les [les policiers de la BAC] assurer de notre soutien, de ma confiance, de ma reconnaissance et leur dire que nous n'aurons aucune complaisance, aucune faiblesse vis-à-vis des délinquants et des criminels qui seront mis hors d'état de nuire et dont la seule place est en prison » [32] Des mots banals au final, des mots qui finissent par sonner creux puisque récurrents dans le discours politique depuis 2002, donc insuffisants pour soulager le malaise et la grogne chez les policiers. [33] Un héritage du président sortant [34] que le nouveau ministre de l’Intérieur devra gérer à la fois avec doigté et fermeté. « Car ce que les flics attendent aujourd’hui, c’est une feuille de route précise. » [35]

 

Jean-Marc Leclerc remarque qu’« Aux policiers et aux gendarmes, ses amis ont déjà distillé le message qu'ils trouveraient en lui un ministre qui les comprend. Les membres des forces de l'ordre, quant à eux, estiment que Manuel Valls incarne, dans son discours, le «bon sens» qui doit dicter, selon eux, l'action de police » tout en posant, néanmoins, cette question en conclusion : « Reste à savoir si cet homme libre dans ses paroles et qui a séduit François Hollande par sa loyauté durant la campagne présidentielle aura les coudées franches pour mettre en application tout ce qu'il a pu professer… » [36] Manuel Valls s’est, par exemple, prononcé dans un passé récent en faveur la généralisation et l’armement des polices municipales [37]… proposition défendue par Nicolas Sarkozy durant la campagne présidentielle et même avant par l’UMP. [38] Ses prises de position lui ont d’ailleurs valu, lors des primaires socialistes, le soutien des organisations… les plus à droite de l’échiquier syndical [39], les mêmes se félicitent aujourd’hui de sa nomination place Beauvau, même si la prudence s’impose selon le SNPM-FO [40] : « Le Maire d’Evry s’est toujours posé comme pro-police municipale, attendons de voir si le Ministre de l’Intérieur adoptera la même position. » [41]Eux aussi ont le souvenir cuisant du ferme et chaleureux soutien de Nicolas Sarkozy, une casquette de police municipale trônant en évidence dans son bureau place Beauvau lors de leurs rencontres : durant dix ans, il a multiplié les promesses à leur endroit, les a continuellement flattés, tout en alourdissant insidieusement la charge de travail des policiers municipaux au gré d’un élargissement constant de leurs compétences mais sans jamais améliorer le volet social de leur profession.

 

« Valls, Monsieur 6%, Monsieur menacé d’expulsion par Aubry, devient l’un des plus puissants ministres de ce gouvernement », conclue Gilles Devers. La nomination de Manuel Valls place Beauvau ne fait visiblement pas l’unanimité à gauche, d’autant qu’il y avait bien plus compétent pour occuper le poste de ministre de l’Intérieur. [42] Mais la politique a ses règles, ses copinages, ses accointances, ses trahisons… ce qui explique pourquoi François Hollande a confié les ministères stratégiques à l’aile droite du PS, non seulement pour rassurer à droite mais aussi et surtout surveiller, voire neutraliser son flanc gauche. Néanmoins, comme Jacques Chirac en 2002, François Hollande devra se méfier à terme de son ministre de l'Intérieur au vu de ses ambitions, d’autant que l’intéressé faisait le 6 mai dernier cette confidence enjouée : « J’aime l’idée de la conquête. L’objectif est tout à fait extraordinaire. »  [43] Une prémonition pour 2017 ? 



[1] Charlotte Chaffanjon, « Manuel Valls, sécurité intérieure » in Le Point, 16 mai 2012.

http://www.lepoint.fr/politique/manuel-valls-securite-int...

 

[2] Jean-Marc Leclerc, « Manuel Valls, un pragmatique Place Beauvau » in Le Figaro, 16 mai 2012.

http://elections.lefigaro.fr/presidentielle-2012/2012/05/16/01039-20120516ARTFIG00742-manuel-vallsun-pragmatique-place-beauvau.php

 

[3] « "Le mot socialiste ne veut plus rien dire", selon Manuel Valls » in Libération avec AFP, 10 juin 2009.

http://www.liberation.fr/politiques/0101573124-le-mot-soc...

 

Reconnaissons qu’il ne fut pas le seul puisqu’à la même époque, Bernard-Henri Lévy, alias BHL, considérait que « Martine Aubry est le gardien d'une "maison morte", vouée à la démolition », pariant sur « Royal, qu'il avait conseillé lors de la présidentielle de 2007, Valls ou Strauss-Kahn pour que la gauche renaisse sur les décombres du socialisme ».

 

« BHL : "Le PS doit disparaître" » in Le JDD, dimanche 19 juillet 2009.

http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/BHL-Le-PS-doit-di...

 

Bruno Le Roux, député de Seine-Saint-Denis et proche de l'ancien premier secrétaire du PS, François Hollande, constatait alors avec regret que « Certains socialistes font le jeu de Sarkozy ».

 

François-Xavier Bourmaud, « Le Roux : "Certains socialistes font le jeu de Sarkozy" » in Le Figaro, 15 juillet 2012.

http://www.lefigaro.fr/politique/2009/07/16/01002-2009071...

 

[4] Laurent Opsomer, « Ministre de l’Intérieur : célérité, efficacité, fidélité ou parité ? » in Double Neuf, 14 mai 2012.

http://doubleneuf.nordblogs.com/archive/2012/05/14/minist...

 

[5] Serge Faubert, « Qui est Manuel Valls, l’homme qui monte à gauche ? » in Le Dépêche du Midi, 9 mai 2012.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/10/1349213-qui-es...

 

[6] « Valls réclame le départ prochain de Hollande » in Le Nouvel Observateur, 13 juin 2007.

http://tempsreel.nouvelobs.com/elections-2007/20070613.OBS1635/valls-reclame-le-departprochain-de-hollande.html

 

[7] Gilles Devers, « Gouvernement : Sarko est parti, mais sa pensée reste » in Actualités du droit, 18 mai 2012.

http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/archive/2012/05/18/gouverment-sarko-est-vire-mais-sa-pensee-reste.html

 

[8] Olivier Bonnet, « Manuel Valls, la honte du gouvernement socialiste » in Plume de presse, 16 mai 2012.

http://www.plumedepresse.net/manuel-valls-la-honte-du-gouvernement-socialiste/

 

[9] Emmanuel Jarry, édité par Sophie Louet, « Ni angélisme, ni stigmatisation, promet Manuel Valls » in Le Point avec Reuters, jeudi 17 mai 2012.

http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/ni-angelisme-ni-stigmatisation-promet-manuel-valls-17-05-2012-1462471_240.php

 

[10] « La Valls du SM » in Bakchich, vendredi 12 juin 2009.

http://www.bakchich.info/La-Valls-du-SM,07996.html

 

[11] « Valls pose bâillonné pour un journal espagnol » in L’Express, 28 juillet 2009.

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/valls-pose-bai...

 

[12] Bruno Roger-Petit, « Quand Manuel Valls recycle les plans com’ de Jean-Marie Le Pen » in Le Huffington Post, 28 juillet 2009.

http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2009/07/...

 

[13] « Manuel Valls : "Sortons le PS du carcan des courants" » in Le Figaro, 21 août 2007.

http://www.lefigaro.fr/elections-legislatives-2007/200708...

 

[14] « Valls : le Parti socialiste "peut faire un bout de chemin avec la majorité" » in Le Nouvel Observateur avec AP, 22 août 2007.

http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20070822.OBS1504...

 

[15] Claude Askolovitch et Marie Quenet, « Valls : "Sortir de l’opposition frileuse" » in Le Journal du Dimanche, samedi 18 octobre 2008.

http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Valls-Sortir-de-l-opposition-frileuse-85623/

 

[16] « Manuel Valls veut faire imploser le PS » in Le Figaro, 24 juillet 2007.

http://www.lefigaro.fr/politique/2007/07/24/01002-2007072...

 

[17] « PS : Manuel Valls appelle à ne pas "diaboliser" Nicolas Sarkozy » in Le Nouvel Observateur, 8 juillet 2007.

http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20070708.OBS5586...

 

[18] « Valls : "Je n’ai aucun problème d’éthique" » in L’Express, 29 août 2009.

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/valls-je-n-ai-...

 

[19] « Valls critique "l’antisarkozysme obsessionnel" du PS » in Le Point avec AFP, 22 mars 2009.

http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2009-03-22/val...

 

[20] « Libertés publiques : Valls pointe les dérives du "livre noir" du PS » in Les Echos avec AFP, 21 mars 2009.

http://archives.lesechos.fr/archives/2009/lesechos.fr/03/...

 

[21] « Valls pose bâillonné pour un journal espagnol » in L’Express, 28 juillet 2009.

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/valls-pose-bai...

 

[22] « Valls dénonce la tristesse de la gauche » in Le Figaro, 8 avril 2009.

http://www.lefigaro.fr/politique/2009/04/08/01002-2009040...

 

[23] « Il faut exclure Manuel Valls du Parti socialiste » in Le Nouvel Observateur, 4 janvier 2011.

http://tempsreel.nouvelobs.com/opinions/20110104.OBS5689/...

 

[25] « Education – Projet de droite contre projet de gauche » in Le Point, 11 avril 2012.

http://www.lepoint.fr/politique/election-presidentielle-2...

« Nicolas Sarkozy fait de l'évolution du travail des enseignants et une autonomie accrue des établissements le coeur de son projet. »

 

[26] « Valls ne croit pas à la popularité de Hollande » in L’Express avec AFP, 27 avril 2011.

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/valls-ne-croit-pas-a-la-popularite-de-hollande_986765.html

 

[27] P.M., « Les syndicats en majorité satisfaits du gouvernement » in Le JDD avec AFP, jeudi 17 mai 2012.

http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Les-syndicats-en-majorite-satisfaits-du-gouvernement-511984/

 

[28] Gaël Vaillant, « Yannick Danio : "Valls, le profil qu’il faut aux policiers" » in Le JDD.fr, vendredi 18 mai 2012.

http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Actualite/Valls-le-profil-qu-il-faut-aux-policiers-interview-512173/

 

[29] Frédéric Ploquin, « Manuel Valls Place Beauvau, les officiers tirent les premiers » in Secret Police, jeudi 17 mai 2012.

http://www.marianne2.fr/fredericploquin/Manuel-Valls-Plac...

 

[30] Laurent Borredon, « Premier déplacement, première annonce pour Valls » in Vu de l’intérieur, 17 mai 2012.

http://delinquance.blog.lemonde.fr/2012/05/17/premier-dep...

 

[31] « Comme Marine Le Pen, Sarkozy veut une "présomption de légitime défense" pour les policiers » in Le Point avec AFP, 26 avril 2012.

http://www.lepoint.fr/politique/comme-marine-le-pen-sarko...

 

[32] Prise de fonction du nouveau préfet. Discours de M. le Président de la République. Grenoble, vendredi 30 juillet 2010.

http://www.elysee.fr/president/les-actualites/discours/20...

 

[33] Ismaël Karroum, « Le malaise et la grogne montent chez les policiers » in Charente Libre, 10 avril 2012.

http://www.charentelibre.fr/2012/04/10/police-des-rois-de...

 

[34] Frédéric Ploquin, « Sarkozy-Hollande : la colère policière en héritage » in Secret Police, mardi 8 mai 2012.

[35] Georges Moréas, « La police désenchantée » in Police et cetera, 13 mai 2012.

http://moreas.blog.lemonde.fr/2012/05/13/la-police-desenc...

 

[36] Jean-Marc Leclerc, « Manuel Valls, un pragmatique Place Beauvau » in Le Figaro, 16 mai 2012.

http://elections.lefigaro.fr/presidentielle-2012/2012/05/...

 

[37] « Valls favorable à une police municipale armée » in Europe 1 avec AFP, 30 mai 2011.

http://www.europe1.fr/Politique/Valls-favorable-a-une-pol...

 

[38] Proposition de loi n°4053 de Jean-Claude Bouchet visant à rendre obligatoire le porte d’arme des policiers municipaux

http://www.assemblee-nationale.fr/13/propositions/pion405...

 

Laurent Opsomer, « Polices municipales : la salade niçoise » in Double Neuf, 22 juin 2011.

http://doubleneuf.nordblogs.com/archive/2011/06/18/police...

 

[39] Laurent Opsomer, « Et le prochain ministre de l’Intérieur sera… » in Double Neuf, 10 novembre 2011.

http://doubleneuf.nordblogs.com/archive/2011/11/10/et-le-...

 

[40] Laurent Opsomer, « SNPM : un séisme syndical ? » in Double Neuf, 5 février 2012.

http://doubleneuf.nordblogs.com/archive/2012/02/05/snpm-u...

 

[41] SNPM-FO, « Nomination du Député-Maire d’Evry au gouvernement : un pro-police municipale au ministère de l’Intérieur », 16 mai 2012.

http://snpm.mobi/telechargements/nomination_manuelvalls.pdf

 

[42] Laurent Opsomer, « Ministre de l’Intérieur : célérité, efficacité, fidélité ou parité ? » in Double Neuf, 14 mai 2012.

[43] Arthur Nazaret, « Une journée avec Manuel Valls, directeur de la communication de François Hollande » in Le Journal du Dimanche, dimanche 6 mai 2012.

http://www.lejdd.fr/Election-presidentielle-2012/Actualite/Une-journee-avec-Manuel-Valls-directeur-de-la-communication-de-Francois-Hollande-508838/