22/09/2011
COMPILATION D'ARTICLES
DSK : « Un piège ? C’est possible. Un complot ? Nous verrons… »
http://www.liberation.fr/politiques/01012360616-dsk
Les seules victimes de DSK…
Pierre Péan : "L’oligarchie politico-financière ne pense qu’à se servir"
Sarkozy, au carrefour des affaires politico-financières
Chirac, Sarkozy et DSK… Tous des zombies ?
http://www.courrierinternational.com/article/2011/09/07/chirac-sarkozy-et-dsk-tous-des-zombies
« Son ennemi de toujours, Jacques Chirac, n'est plus qu'un fantôme. Son plus sérieux rival, Dominique Strauss-Kahn, a été relégué aux oubliettes de la présidentielle. Et pourtant, Nicolas Sarkozy ne grimpe pas dans les sondages. Lui aurait-on jeté un mauvais sort ? »
« Marine Le Pen en embuscade »
http://www.liberation.fr/politiques/01012358996-marine-le-pen-reste-en-embuscade
Trente tombes musulmanes profanées à Carcassonne
« Une trentaine de tombes de musulmans morts pendant la Première guerre mondiale, situées dans le carré militaire de cimetière Saint-Michel à Carcassonne ont été recouvertes d'inscriptions racistes et nazies ». Permettez que j’exprime ici mon plus profond dégoût et mépris devant cet acte infâme dont l’ignominie n’a d’égale que la lâcheté.
Immigration : Arno Klarsfeld défend la politique du chiffre de Guéant
Les questions de sécurité et d’immigration en France
http://www.iris-france.org/informez-vous/tribune.php?numero=229
L’immigration : fantasme politique, réalité économique
Productivité : les Etats-Unis et la France sont en tête et creusent l’écart
Les perspectives de l’économie mondiale, par le FMI
Une crise démocratique
Pourquoi les BRICS s’intéressent-ils aux dettes européennes ?
http://www.affaires-strategiques.info/spip.php?article5566
Le double coup économique et diplomatique de l’aide des BRICS à l’Europe
Ce qu’il faut savoir sur les emprunts toxiques des collectivités
Recapitalisation, mode d’emploi
http://www.liberation.fr/economie/01012361444-recapitalisation-mode-d-emploi
« La fragilité des banques européennes inquiète les marchés. Les Etats pourraient à avoir à remettre la main à la poche, via une opération de «recapitalisation». Explication. »
Aidons les banques, pas les pauvres !
http://politique.blogs.ouest-france.fr/archive/2011/09/20/aidons-les-banques-pas-les-pauvres.html
Davantage de pauvres en France
Marseille. Expulsion du bidonville en toute intimité
http://www.lamarseillaise.fr/societe-quartiers/expulsion-du-bidonville-en-toute-intimite-24277.html
«La résurgence de la tuberculose est le révélateur d'une précarité très forte»
On n’a toujours plus le droit d’avoir faim
http://www.lamarseillaise.fr/social/on-n-a-toujours-plus-le-droit-d-avoir-faim-24244.html
Les associations menacées de devoir réduire l’aide alimentaire
Les ONG redoutent "une crise alimentaire" pour les plus pauvres de l’UE
Il reste moins d’un million d’agriculteurs en France
Un quart d’agriculteurs en moins en dix ans
Moins d’agriculteurs, c’est aussi moins de biodiversité
La campagne betteravière a déjà commencé et s’annonce exceptionnelle
Tereos part en campagne : quatre mois sans sortir la tête de la betterave
Un acteur mondial des sucres, amidons et alcools
Les éoliennes offshore, ces paradis marins
http://www.courrierinternational.com/article/2011/09/20/les-eoliennes-offshore-ces-paradis-marins
Arc International s’étend aux Emirats pour suivre l’expansion au Moyen-Orient
TGV. Chef-d’œuvre en péril
http://www.lesechos.fr/opinions/edito/0201651731481-chef-d-oeuvre-en-peril-222694.php
Pétrole guyanais : les mauvais côtés de l’or noir français
http://www.slate.fr/story/43957/guyane-france-petrole-environnement
« Sortir du nucléaire, ce n’est pas un dogme, c’est un choix de raison ».
http://www.affaires-strategiques.info/spip.php?article5561
BTP. Des engins rose bonbon, ça économise des millions
Le malheur au travail coûte cher
http://www.liberation.fr/economie/01012359014-le-malheur-au-travail-coute-cher
Arrêter la cigarette peut être bon pour la personnalité
Caroline Fourest : "Si Neuilly donnait un peu d’argent à la Seine St Denis, la France se porterait mieux"
« Il existe en Europe un réel déplacement du centre de gravité politique vers la droite »
http://www.affaires-strategiques.info/spip.php?article5567
Les dépenses publiques en Allemagne : d’où proviennent les écarts avec la France ?
Fillon veut un « âge de retraite » commun avec l’Allemagne
Soit 67 ans…
40% de suicides en plus en Grèce depuis la crise
http://www.slate.fr/lien/43993/grece-suicide-crise
Comment manipuler l’information sur Internet ?
http://www.slate.fr/story/43745/barbouzeries-numeriques
Comment contourner la censure sur Internet ?
Entre précarité et pouvoir: petite histoire des maîtresses
http://www.slate.fr/story/43403/maitresse-change-histoire
Sur la mine pousse la forêt
http://www.courrierinternational.com/article/2011/09/22/sur-la-mine-pousse-la-foret
Aveyron. Le trafic de buis rapportait 100 000 euros par an
http://www.midilibre.fr/2011/09/22/dma-la-trafic-de-buis-rapportait-100-000-euros-par-an,391643.php
Vous prendrez bien quelques électrochocs ?
http://www.slate.fr/story/43789/electrochocs-psychiatrie
La grande foire de la médecine du sport
http://www.courrierinternational.com/article/2011/09/22/la-grande-foire-de-la-medecine-du-sport
BTS. « Des quotas pour les bacs pro »
Insertion plutôt réussie pour les jeunes diplômés du secteur "vert"
Même affaiblis, les profs relèvent la tête
http://www.lamarseillaise.fr/education/meme-affaiblis-les-profs-relevent-la-tete.-24261.html
La rentrée des profs
http://rentree.blog.lemonde.fr/
« Blog de survie à l’usage des enseignants. »
Statut des enseignants et temps de travail
http://www.ifrap.org/Statut-des-enseignants-et-temps-de-travail,12276.html
Un peu de douceur libérale.
Manque d’enseignants : la solution du « travailler plus »
Pour le même salaire ? Comment faire travailler plus les enseignants dont la dotation horaire de leur matière a été singulièrement rabotée ces dernières années à l’occasion des différentes réformes ?
Demain, tous sous les drapeaux ?
http://www.liberation.fr/societe/01012361226-demain-tous-sous-les-drapeaux
Serment d'allégeance aux armes : rétrograde ou civique ?
http://www.iris-france.org/informez-vous/tribune.php?numero=227
Libye : l’aveu de la guerre
http://lecercle.lesechos.fr/economie-societe/international/afrique/221137720/libye-laveu-guerre
Afghanistan : dix ans de conflit
http://www.iris-france.org/docs/kfm_docs/docs/2011-09-afghanistan-10-ans-de-conflit.pdf
Les pires des pires au monde
http://www.slate.fr/story/43851/dictature-pire-bechir-ahmadinejad-castro-biya
Pour échapper aux vampires, rien ne vaut les vieilles recettes
Essonne : quatre doigts humains découverts dans un pot de confiture
Une souris découverte dans une boîte de haricots verts près de Rouen
Une réaction chimique expliquerait l’effondrement des Twins Towers
Que risque-t-on à faire l’amour dans un avion ?
http://www.slate.fr/story/43907/sexe-avion
Des particules mesurées à une vitesse dépassant celle de la lumière
La réapparition rapide des récifs après la plus grande extinction de tous les temps
22:13 Publié dans Actualités | Lien permanent | Tags : presse, médias
UN PIÈGE BLEU MARINE
Un piège bleu Marine
Blog de Laurence Parisot
http://www.laurence-parisot.com/
Anne-Marie Rocco, « Laurence Parisot contre "Le piège bleu Marine" » in Femmes, 14 septembre 2011.
Claire Guélaud, « Laurence Parisot appelle à éviter le "piège bleu Marine" » in Le Monde, 14 septembre 2011.
Véronique Le Billon, « Marine Le Pen : attention piège » in Les Echos, 16 septembre 2011.
http://www.lesechos.fr/opinions/livres/0201635191738-marine-le-pen-attention-piege-220018.php
Bertrand Rothé, « Le Medef soutient le FN » in Il n’y a pas d’alternative, 18 septembre 2011.
http://www.marianne2.fr/BertrandRothe/Le-Medef-soutient-le-FN_a21.html
21:19 Publié dans Loisirs et Culture, Politique | Lien permanent | Tags : laurence parisot, rose lapresle, marine le pen, medef, patronat, fn, front national, extrême droite, ump
20/09/2011
NOUVELLES IMPUDIQUES
Qu’est-ce que l’amour ? L’amour est un bien plus précieux que l’or. Il est éternel tel le diamant ou éphémère à l’image d’un arc-en-ciel. Il est solide comme le roc ou fragile comme le cristal. Pour sa part, mademoiselle de Scudery disait de celui-ci : « L’amour est un je-ne-sais-quoi, qui vient je-ne-sais-où et qui finit je-ne sais-quand. » Cependant, on ne désire que ce qui ne nous appartient pas. On ne s’attache qu’à ce que l’on peut perdre, puisqu’il ne prend de la valeur que du fait qu’il n’est jamais acquis. Or, l’amour n’est pas un acquis définitif, mais une conquête de tous les jours. Si affirmer sa flamme a un sens, si dire « je t’aime » a son importance, déclarer s’aimer pour la vie est une utopie car l’amour est un combat quotidien. Je suis tenté de comparer l’amour à un animal sauvage que l’on apprivoise progressivement mais que l’on ne domestique jamais ; il peut à tout moment recouvrer sa liberté et redevenir par la même aussi sauvage qu’à l’origine, mais sous d’autres cieux…
Le langage labial
Le corps féminin est une contrée que j’aime parcourir, admirant du regard ses courbes et ses rondeurs. Enivré par ses effluves, je lance mes mains à la découverte de cet espace précieux et ô combien mystérieux. Celles-ci vont alors par monts et par vaux, détachant un bouton par-ci, se glissant par-là. Elles n’en font qu’à leur tête, n’obéissant désormais qu’aux douces ondulations d’un corps qui s’offre à la conquête. Mues par ces secrètes injonctions, elles effleurent, caressent, enlacent, étreignent. Un oubli, une réclamation ? Elles se font dociles, répondant immédiatement à toute exhortation pour réparer leur étourderie.
Le corps féminin est un jardin fait d’humeurs, de senteurs et de saveurs. Par conséquent, comment résister au plaisir de le baiser ? D’abord prude, la bouche s’empare hardiment des lèvres qui s’offrent à elle. Electrisées, les langues entament une folle sarabande. L’émotion gagne alors le corps tout entier. Les sens s’affolent. Les doigts s’égaillent dans la chevelure. Les souffles se mêlent. On embrasse passionnément le visage aimé, on le caresse. Grisées par le désir, les lèvres glissent le long du cou. Parfois les dents meurtrissent les chairs. Mais généralement plus sages, elles mordillent avec affection lobes et tétons. Les mains dénudent les épaules que la bouche embrasse fougueusement.
Telle la plage sous l’effet de la marée, le corps féminin se découvre peu à peu. D’un chemisier déboutonné apparaissent alors deux merveilleux globes laiteux, orgueilleusement soutenus par cette savante pièce de dentelle qu’est le soutien-gorge. On ne peut résister au plaisir de placer aussitôt ses mains sur ces mamelons fièrement dressés. L’assaut de ces deux citadelles est coordonné : les mains se glissent dans le dos, bien décidées à dégrafer le plus adroitement possible l’obstacle ainsi dressé, tandis que les lèvres se ruent sur la poitrine ainsi dévoilée. C’est un spectacle merveilleux dont je ne me lasse jamais ! L’excitation se propage à la vue de ces seins révélés. Mes mains s’emparent de cette gorge généreuse dont la fermeté démontre l'émoi. Elles caressent, palpent, s’amusent. Ma bouche n’est pas en reste : elle découvre le soyeux de la peau, son onctuosité. Les lèvres aspirent les tétons et la langue les titille avec malice. Les seins sont gonflés de désirs que trahit parfois un soupir de satisfaction. L’imagination est alors débridée et nombre de possibilités s’offrent aux amants du moment pour égayer leur jeu amoureux…
Mais soyons sages et poursuivons notre découverte du corps féminin. Les mains glissent le long du corps, se saisissent des hanches, caressent les cuisses. Les lèvres suivent, baisant le ventre dénudé, les dents mordillant la peau veloutée que pétrissent les mains. Quel ravissement que le contact électrique de cette peau chaude et satinée ! Les mains relèvent la jupe, ou déboutonnent le jean, qu’elles s’attachent ensuite à enlever grâce à la complicité féminine. Les variantes sont ici pléthores puisque liées à l’instant présent ; rien n’est prémédité : tout est improvisé au gré des opportunités. Une question s’impose alors : jeu de main, jeu de vilains ? Non, jeu de coquins ! Et la bouche dans tout cela ? Toujours la bienvenue, elle n’est jamais très loin.
Le jeu continue et gagne en intensité. Mes mains apprécient le galbe des hanches. La tentation est grande de se ruer sur cette intimité révélée mais pieusement voilée par une affriolante étoffe de soie ou de dentelle (1) que mes dents déchiquetteraient avec avidité. À ce stade, une offensive généralisée serait vraisemblablement couronnée de succès, mais ce serait une victoire à la Pyrrhus puisque de courte durée. Il me faut donc patienter. J’envoie mes mains en reconnaissance. Elles s’approchent de leur objectif, l’effleurent mais ne s’y attardent pas, préférant descendre le long des jambes ou courir vers la poitrine. Ma bouche se contente d’un innocent baiser dans l’aine. Toutes attendent un signal, un frémissement. Pourtant, au fil des caresses, mes mains s’enhardissent et abordent à pas feutrés les contours de l’obstacle textile, illusoire rempart à mon désir. En catimini, un doigt se faufile en éclaireur sous la couture. Pas d’opposition ? Mes doigts se lancent alors à l’assaut du mont de Vénus. Ils s’insinuent dans cette luxuriante vallée sombre, source de félicités à foison. Les battants du temple sacré s’ouvrent au plaisir. Telle une étoile de mer, ma main s’empare de ce coquillage de chair veloutée et ombré d’un fin duvet. N’y tenant plus, j’introduis un, puis deux doigts dans les chairs ruisselantes, auxquels j’imprime un doux mouvement de va-et-vient. L’aimée écarte progressivement les longs fuseaux que sont ses jambes et arque les reins, comme pour m’inviter à prendre possession de son ventre encore plus profondément. Il me faut alors me débarrasser des sous-vêtements ; seul le string est toléré !
Sitôt passé la difficulté des hanches, le slip glisse le long des jambes avant d’être déposé à côté du lit ou jeté à l’autre extrémité de la pièce – c’est selon l’excitation du moment. Que penser à cet instant de ce corps dénudé, qui, désinhibé, s’offre aux caresses et aux baisers les plus osés ? La femme est alors dans toute sa beauté ! Je me délecte à la vue de ce fessier si complaisamment présenté. Remontant le cours sensuel des cuisses, je caresse la croupe avant de me faire plaisir. Ma main va s’encanailler en pressant amoureusement le périnée. Quelle volupté lorsque cette intimité vient se plaquer contre ma poignée afin d’être câlinée. Mes sens sont alors si aiguisés que, parfois, je ne résiste pas au ravissement déraisonné de croquer cette partie charnue tout en l’embrassant passionnément. Ma bouche avide s’empare de la secrète vallée au désir perlé, et ma langue plonge au plus secret de cette délicieuse anatomie. Mes lèvres s’imprègnent du goût subtil de ce trésor caché. Elles happent avec gourmandise les pétales nacrés, puis ma langue les écarte délicatement pour pénétrer dans l’antre convoité. Le corps ondule sous l’effet de cette sensuelle linguistique. Le bassin se soulève pour marquer son approbation. Tandis que goulûment, la bouche dévore avec passion ces lèvres humides que la décence interdit de montrer, mes doigts s’engagent sans effort dans le sillon noyé de plaisir. Le duo est déchaîné et peut s’éterniser jusqu’à satiété. Ma langue s’amuse à titiller le clitoris après l’avoir précautionneusement décapuchonné ; celui-ci mérite vraiment son surnom de bouton des délices. Je m’abreuve à cette fontaine de jouissance. Le corps se cambre sous l’effet de cette audacieuse dialectique. Ainsi échauffé, il réclame son dû.
Nous pourrions continuer notre randonnée sur le chemin de la volupté et découvrir ensemble d’autres contrées du corps féminin, s’engager sur des sentiers inavoués. Je pourrais, en effet, disserter des heures sur mes douces excentricités à ce sujet, mais je préfère m’arrêter. C’est fini ? Non, car il vous revient le soin d’achever cet ébat amoureux ; j’ai donné la tonalité, à vous la finalité !
(1) Bénis soient les dentellières et autres canuses.
21:54 Publié dans Perso | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : femme, corps féminin, érotisme, sexe